Sano Rotter 5, la guerre des sorciers

jai pas encore corrigé sorry !

chapitre.
Crayonne ne part pas !

Sans que personne ne puisse le voir le locate de Pini agissant selon la volonté de son lanceur se glissa dans un trou de souris.
Sano : Pardon Pini ?
Pini : Rien jme suis planté dans mon locaté, jle refais. Hem... "locate euh... Doll!"
Une sphère argenté apparu de nouveau et parti vers les escaliers.
Sano : Non pas Doll !
Pini : Quoi pourquoi pas Doll ? Elle est pas morte non plus quand même ! On me dit que Bélial est mort, que Crayonne est dans le chateau, alors je sais plus qui appeler moi. Je veux seulement retrouver mon chemin dans l'école pour aller dehors.
Sano : Bon euh ok allez y je vous y rejoindrais avec Crayonne.
Pas mécontant d'en avoir fini avec Sano pour l'instant Pini courut à la poursuite du locate. Il ne savait pas qu'il tomberait sur la mauvaise personne.
Sano quant à lui repris sa course contre la montre. Il était repassé non loin de la salle des banquets et donc de la grande porte de l'école. Son objectif principale était de retrouver Crayonne alors il devint invisible le temps de la retrouver, ne prenant pas le risque de s'attirer de nouveaux ennui en chemin. Ainsi proteger il courut à toute à l'allure vers des voix qu'il semblait entendre au loin. Il finit sa course devant une porte ovale veilli par le temps. Il l'ouvri. Au centre de la pièce ce qui attirait de suite l'attention était une sphère doré legerement translucide.A l'intérieur on pouvait y voir le corps sans vie de Bélial Lindanagall.
Il n'était pas seul dans la pièce. A l'autre bout une voix de femme criait :
"n'est pas la peine vous ne servirez à rien Miss Badgranger ! Revenez je vous en suppli laissez Saké s'occuper de lui !"
A cette instant Sano se libera du sort d'invisibilité et rejoignit la femme à l'autre bout.
Sano : Comment ça "laissez Saké s'occuper de lui "?
Gwenolafée : Mais que... !
Sano : N'ayez pas peur madame je suis dans votre camp.
Mais avant qu'il n'ait pu finir sa phrase il vit la personne à qui Gwenolafée parlait quelques secondes auparavant, Crayonne. Cette salle était en fait une issu de secours entre deux ailes du chateaux. Mais une issu de secours bien dangeureuse. Ce qui relié les deux tours n'était qu'un simple pont en bois, cordes et quelques pierres. Ce lesquelles Crayonne tentait d'avancer le plus rapidement possible.
Sano : Ou va t'elle ? Crayyyyoooooonnne !
Gwenolafée : C'est inutile à cette distance elle ne vous entend plus. Hé !
Sano avait monté les quelques marches le menant à la passerelle peu sur et s'appretait à la franchir pour rejoindre Crayonne de l'autre coté.
"Et un pont en moiiiiiiiiiiiiiins uhuhuhuhuh!"
Un détraké sur un rateau s'était approché rapidement, il tendit sa baguette et le pont explosa. Heureusement Sano fut projeté en arriere et put se rattraper sur Gwenolaféee. Mais le pont était détruit. Crayonne quand à elle était resté accroché au restes de cordages et se hissait tant bien que mal vers le sommet.
Sano : "Vent tourbillonant ramène Crayonne en haut !"
Le sort de Sano fonctionna très bien et Crayonne fut soulevé par le vent et fut ramené sur les pierres de la tour d'en face. Elle se retourna et vit Sano.
Celui ci vit très bien les yeux de sa bien aimé. Ils étaient pleins de larmes. On sentait dans son regard une sorte de résignation, elle fit un petit signe de la main à Sano et reprit aussitot sa course dans la tour voisine.
Sano : Non Crayonne ne m'abandonne pas !
Gwenlaofée : Elle ne vous entend plus Sano Rotter je suis désolé...
Sano : Grr... et vous qui êtes-vous ?
Gwenolafée : Je suis Gwenolafée Gwenolas et j'enseigne la sorcellerie cette année. je ne vous ai jamais rencontré mais il n'est pas difficile de deviner que vous êtes Sano Rotter. Si seulement vous aviez été là au bon moment. Dit-elle en se tournant vers la sphére dorée qui renfermait le corps de Bélial.
Sano : Alors... elle est bien morte ?
Gwenolafée : Oui je le crains.
Sano : Co... comment est-ce arrivé dit Sano qui tourna legerement la tête pour cacher ses larmes.
Gwenolafée : Regardez la sphére de plus pret Sano. C'est un objet magique qui a en générale la forme d'une opale quand elle est unitilisé. Elle sert en de cerceuil magiques. Un cerceuils qui laissent un certain héritage. En vous en approchant vous verrez comme si vous y étiez les derniers instant de Bélial Lindanagall...

Crayonne, revient petite idiote ! Ouais, le retour de Gwenolafée !!!
Et on va enfin savoir comment Bélial est morte...

Ca m'a permit de faire revenir gwenolafée que j'avais completement oublié !faudrait que je remanie certain chapitre quand ils sont dans la salle des banquets parce que je l'avais vraiment zappé la pauvre.

Correction du chapitre "crayonne ne part pas !" j'ai remplacé le nom. Dans la foulée je met le début du chapitre suivant.

chapitre.
La sphère du souvenir

Sans que personne ne puisse le voir le locate de Pini agissant selon la volonté de son lanceur se glissa dans un trou de souris.
Sano : Pardon Pini ?
Pini : Rien jme suis planté dans mon locaté, jle refais. Hem... "locate euh... Doll!"
Une sphère argenté apparu de nouveau et parti vers les escaliers.
Sano : Non pas Doll !
Pini : Quoi pourquoi pas Doll ? Elle est pas morte non plus quand même ! On me dit que Bélial est mort, que Crayonne est dans le château, alors je sais plus qui appeler moi. Je veux seulement retrouver mon chemin dans l'école pour aller dehors.
Sano : Bon euh ok allez y je vous y rejoindrais avec Crayonne.
Pas mécontent d'en avoir fini avec Sano pour l'instant Pini courut à la poursuite du locate. Il ne savait pas qu'il tomberait sur la mauvaise personne.
Sano quant à lui repris sa course contre la montre. Il était repassé non loin de la salle des banquets et donc de la grande porte de l'école. Son objectif principale était de retrouver Crayonne alors il devint invisible le temps de la retrouver, ne prenant pas le risque de s'attirer de nouveaux ennui en chemin. Ainsi protéger il courut à toute à l'allure vers des voix qu'il semblait entendre au loin. Il finit sa course devant une porte ovale vieillie par le temps. Il l'ouvrit. Au centre de la pièce ce qui attirait de suite l'attention était une sphère doré légèrement translucide.A l'intérieur on pouvait y voir le corps sans vie de Bélial Lindanagall.
Il n'était pas seul dans la pièce. A l'autre bout une voix de femme criait :
"n'est pas la peine vous ne servirez à rien Miss Badgranger ! Revenez je vous en supplie laissez Saké s'occuper de lui !"
A cette instant Sano se libera du sort d'invisibilité et rejoignit la femme à l'autre bout.
Sano : Comment ça "laissez Saké s'occuper de lui "?
Gwenolafée : Mais que... !
Sano : N'ayez pas peur madame je suis dans votre camp.
Mais avant qu'il n'ait pu finir sa phrase il vit la personne à qui Gwenolafée parlait quelques secondes auparavant, Crayonne. Cette salle était en fait une issu de secours entre deux ailes du châteaux. Mais une issu de secours bien dangereuse. Ce qui relié les deux tours n'était qu'un simple pont en bois, cordes et quelques pierres. Ce lesquelles Crayonne tentait d'avancer le plus rapidement possible.
Sano : Ou va t'elle ? Crayyyyoooooonnne !
Gwenolafée : C'est inutile à cette distance elle ne vous entend plus. Hé !
Sano avait monté les quelques marches le menant à la passerelle peu sur et s'apprêtait à la franchir pour rejoindre Crayonne de l'autre coté.
"Et un pont en moiiiiiiiiiiiiiins uhuhuhuhuh!"
Un détraké sur un râteau s'était approché rapidement, il tendit sa baguette et le pont explosa. Heureusement Sano fut projeté en arriére et put se rattraper sur Gwenolafée. Mais le pont était détruit. Crayonne quand à elle était resté accroché au restes de cordages et se hissait tant bien que mal vers le sommet.
Sano : "Vent tourbillonnant ramène Crayonne en haut !"
Le sort de Sano fonctionna très bien et Crayonne fut soulevé par le vent et fut ramené sur les pierres de la tour d'en face. Elle se retourna et vit Sano.
Celui ci vit très bien les yeux de sa bien aimé. Ils étaient pleins de larmes. On sentait dans son regard une sorte de résignation, elle fit un petit signe de la main à Sano et reprit aussitôt sa course dans la tour voisine.
Sano : Non Crayonne ne m'abandonne pas !
Gwenolafée : Elle ne vous entend plus Sano Rotter je suis désolé...
Sano : Grr... et vous qui êtes-vous ?
Gwenolafée : Je suis Gwenolafée Gwenolas et j'enseigne la sorcellerie cette année. je ne vous ai jamais rencontré mais il n'est pas difficile de deviner que vous êtes Sano Rotter. Si seulement vous aviez été là au bon moment. Dit-elle en se tournant vers la sphère dorée qui renfermait le corps de Bélial.
Sano : Alors... elle est bien morte ?
Gwenolafée : Oui je le crains.
Sano : Co... comment est-ce arrivé dit Sano qui tourna légèrement la tête pour cacher ses larmes.
Gwenolafée : Regardez la sphère de plus prêt Sano. C'est un objet magique qui a en générale la forme d'une opale quand elle est inutilisé. Elle sert en de cercueil magiques. Un cercueil qui laissent un certain héritage. En vous en approchant vous verrez comme si vous y étiez les derniers instant de Bélial Lindanagall...
Sachant qu'il ne pourrait pas rattraper Crayonne si facilement, Sano décida d'en savoir plus sur la mort de la directrice de l'école qu'il estimait beaucoup. Il s'approcha avec grande émotion de la sphère doré à l'intérieur de laquelle gisait le corps sans vie de Bélial et tout à coup la sphère s'illumina comme toute la salle dans laquelle il se trouvait.
Le lieu avait changé, son esprit était à présent au coté de Bélial Lindanagall dans la plaine où une heure plus tôt un combat sanglant s'était engagé.

Ouais Bélial !!!! Ouais Dolledemort !!!
Baston comme le dirait si bien un barbare connu ^^
Pressée de savoir comment Bélial va mourir... Un coup dans le dos par Dolldemort ? On verra...

ce sera un mort bien fourbe et déroutante en tout cas. ^^

coooooooool... Y'a pas de smiley qui bave pour illustrer ce que je ressens ?

correction du dernier chapitre posté, désolé j'ai du changer le titre !

Chapitre
Dans le coeur de Bélial

Dans la pleine Bélial se battait bien. Par bien j'entend simple et efficace, un détrakés tué par ci un autre par là tout allait bien pour elle et aucun ne lui opposait de résistance. Elle qui un jour fit le voeux de ne plus tuer à nouveaux se battait pourtant comme une véritable tigresse qui déchiquetais sa proie avant que celle-ci n'ai pu apercevoir le visage de la mort. Un sort automatiquement intégré dans sa baguette magique spéciale tuerie, une baguette à l'apparence bien différente que celle qu'elle utilisait autrefois et qui comme le ferait une signature laissait automatiquement une profonde entaille au visage des détrakés tués par elle, effaçant par la même occasion leur rictus horrible.
La danse que Bélial exécutait en lançant ses maléfices était d'une gracieuse beauté. Elle glissait littéralement sur le sol tout en effectuant de splendide mouvement de bras qu'elle rabaissait aussi sec pour lancer ses sorts mortelles sur ses victimes. Puis vint le tour des créatures ailés en tout genre amené par Louisus.Des dragons, des griffons, des dahus et bien sur des corbeaux géants.Tous monté par les détrakés les plus haut gradé.
Bélial : Vous venez par le ciel très bien ! Esprit du ciel, des vents et de l'air, j'invoque vos pouvoirs !
Le ciel au dessus d'eux s'assombris et un vent violent fit le tour dans la plaine dérangeant tout les combattants. Toute les feuilles mortes, les branches ou reste de baguettes magiques s'envolèrent pour former une créature élémental, un griffon d'une taille imposante. Nullement dérangé par le puissant vent il mordit la gorge de la première bête devant lui, un aigle géant. Celui-ci prit à la gorge tenta de se débattre mais il était impossible de se relâcher de l'étreinte de la bête. En un coup sec, l'aigle géant eut le coup brisé et son corps inanimé fut agrippé fortement par les serres du griffon qui l'envoya s'écraser dans le bois de bourgogne. Un râle de protestation venu du sole mojo buveur se fit d'ailleurs entendre. De suite le griffon s'attaqua à une autre créature volante à sa taille.
Mais dans le ciel nombre de détrakés seulement sur des râteaux, volaient aussi. Beaucoup reconnurent Bélial et en firent leur cible à abattre. L'un d'eux criant "Béliaaaaaaaal !!!" comme s'il avait aperçu sa pire ennemi lança le sort "needler" ayant pour effet de faire pleuvoir une pluie d'une dizaine d'aiguilles violettes chacune de la taille d'un poignard. Bélial s'entoura aussitôt d'un sort de protection qui fit dévier les projectiles mortelles. Un élève et un agent du désastre furent blessé mais un autre élève fut tué sur le coup et s'écroula une aiguille figé dans la tête. Bélial voyant cela, en conclu qu'il était plus sage de porter le combat un plus haut dans les airs et un vent magique la portant, elle s'envola vers ses agresseurs. En chemin elle faillit perdre son chapeau qu'elle rattrapa in-extremis le gardant dans sa main gauche. Elle réussit malgré son erreur à tuer deux détrakés d'un seul geste du bras, le tout dans une gerbe de sang écarlate mais elle voulut par la suite prendre sa baguette à deux mains sans penser à son chapeaux. Celui-ci la gêna elle poussa une exclamation de surprise au moment même où elle arrivait à hauteur d'un autre ennemi. Celui-ci profita de cette trop belle occasion et lui infligea une vilaine coupure sur la joue qui la fit crier de douleur. De rage elle porta un violent coup de baguette directement dans le crâne de son agresseur tout en formulant le sort "boum" dans sa tête. Avant que la caboche du détraké n'explose, Bélial toujours porté par son élan eut le temps de faire une pirouette par dessus le détraké et ne fut donc pas éclaboussé par le sang du clown à la tête manquante qui s'écrasa au sol. Son élan étant terminé elle dut atterrir sur le râteau de son agresseur. Un rapide coup d'oeil pour retrouver son griffon elemental suivi d'un tout aussi rapide coup de baguette pour le faire disparaître, lui permit d'économiser ses forces magiques pour créer d'autres créatures. En effet elle utilisa les litres de sang versé pour les transformer en oiseaux rouges écarlates et translucides mais dure comme les rubis dont ils arboraient la couleur et la clarté. Ils avaient une vie propre et n'avaient donc pas à attendre les ordres de Bélial pour se planter dans les coeurs de dizaine de détrakés. Bélial n'était pas peu fière de son enchaînement et quelqu'un lui fit même un compliment... Dolldemort...
Celle-ci avait retrouvé son apparence d'antan. Dans la quarantaine bien qu'aucune imperfections ni rides ne venaient trahir son age, une magnifique robe de sorcière violette, de long cheveux argentés et des yeux, couleurs amethist.
En position sur son râteau en verre mauve et à la voir sous cette apparence, c'était pour Bélial et les autres une image répugnante. Mais se battre au coté du monstre Dolldemort était à n'en pas douter un avantage de plus pour le clan Boudebar.
Dolldemort : Dommage que tu ne m'ais pas rejoins dans ma confrérie à l'époque. Avec toi on aurait reigné sur le monde...
Bélial tourna la tête pour repartir au combat mais Dolldemort l'arrêta.
Dolldemort : Attend ! Si on unit notre magie on sera encore plus efficace ! Ne fais pas cavalier seul Bélial !
Sans tourner la tête Bélial répondit :
Bélial : Tu as déjà unis ta magie à celle d'une de mes élèves. C'est déjà assez répugnant comme cela.
Puis elle redescendit à toute vitesse pour porter secours à trois élèves en danger.
"Superbe enchaînement !" cria Saké au loin.
Bélial rougit et baissa les yeux à terre.
"Meurs Lindana..."
Bélial : catapultas...
Le détraké fut éjecté.
Bélial : Merci Saké, chuchota t'elle.
Mais de là où il était Saké ne pouvait l'entendre. Autour de lui le combat s'intensifiait et il devait repousser des vagues d'ennemis.
Bélial : increpo populis !
Les détrakés s'écroulèrent comme des dominos.
Bélial : Saké il faut que je vous parle !
Saké : En pleine bataille ? répondit Saké tout en combattant.
Bélial : Oui car quelque chose me perturbe ce qui a pour conséquence de baisser ma productivité meurtrière d'au moins 15%.
Saké : Sans blague à ce point là ?
Bélial : Bien sur, tout à l'heure j'ai du rattraper in-extremis mon chapeau pour ne pas le perdre. C'est celui que vous préférez.
Saké : Ah bon ? Répondit Saké étonné car de mémoire il avait du dire un jour "c'est le moins ridicule de vos haut de forme".
Bélial : Oui et...
Au prise avec un clown Saké remarqua un détail sur le visage de Bélial.
Saké : Grr dégage sale monstre ! Bélial vous êtes blessé.
Bélial : Oh ça ?
Machinalement elle se toucha la joue et vit du sang sur ses doigts.
Bélial : Oui justement c'est en rattrapant le chapeau... catapultas... (saké : merci pour le coup de main) que je me suis fais ça.
Saké : Episkey (soigne les plaies).
Saké avait machinalement levé sa baguette et effleura la joue blessée de Bélial pour arreter l'écoulement de sang. Il s'apprêtait à baisser sa baguette rapidement quand la main de Lindanagall l'arrêta.
Bélial regardait Saké qui regardait la main de Bélial qui retenait sa baguette.
Tout à coup le temps sembla se figer autour d'eux.
Bélial : Je vous aime Saké.

Afin de paraître crédible, Bélial avait préféré opter pour le ton froid et sec que Saké Rotter connaissait si bien.
Bélial : Je vous aime et cela me déconcentre.
des détrakés : YAAAAAAAH
Saké et Bélial de concert : PROTEGO TOTALIS (dôme de protection)
Saké n'en croyait pas ses oreilles. Son visage passa de la stupéfaction à l'étonnement puis à la méfiance puis à l'incrédulité puis...
Bélial : C'est si difficile à croire ?!!!
Saké : Je... mais... Bélial nous sommes en guerre !
Bélial : Oui et alors ? Quoi de plus romantique ?
Saké : Mais Bélial je... c'est quoi ce binz j'y crois pas...
Tout se bousculait dans la tête de Saké il ne pouvait pas croire cela et pourtant c'était bien Bélial Lindanagall qu'il avait en face de lui et qui venait de lui déclarer son amour. Bélial sa collaboratrice, son amie, sa confidente et la meilleur coéquipière qu'il ait jamais eu.
Bélial : Je n'attend pas de réponse Saké, je n'ai jamais rien attendu de personne dans ma vie.
Et pourtant Saké allait lui répondre. Car son corps frissonnait mais son coeur était en ébullition. Il s'apprêta à répondre mais n'en eu pas l'occasion.
La serre d'un des corbeaux géants de l'armé de Louisus attrapa Saké qui impuissant fut emporté par l'oiseau en direction du château.

Il n'y a pas de mots pour exprimer ce que je ressens.

oh à ce point là >< lol

Oui à ce point là ^^

Une semaine d'attente pour un chapitre qui j'espere en vaudra le coup ! On y apprend les vrai motivation inatendu de Louisus et le passé tout autant inatendu de Bélial !
Ca m'a demandé un vrai boulot ce chapitre. Merci d'apprecier !

Chapitre.
Le fou prend la reine.

Surprise par les coups d'ailes du corbeau géant que Bélial n'avait pas vu arriver, la directrice tomba sur les fesses.
Bélial : Non... NON ! adduco Saké ! stupefix ! retineo !
Mais rien ne marchait contre le corbeau géant qui de plus était hors de porté.
Rochelderoy : Maîtresse ça va ???
Bélial : catapultas ! Oh pardon Rochelderoy...
Bélial devait à tout prix récupérer Saké. Non pas qu'il ne saurait se débrouiller seul mais elle tenait à finir sa conversation avec lui. Elle regarda rapidement autour d'elle et vit d'innombrables créatures qui se battaient au milieu des élèves. Elle ne pouvait plus dire qui étaient dans son camp la situation semblait échapper à son contrôle.
Bélial : Voila à quoi me réduit cette saleté de sentiment ! (l'amour) talkus sonus !
Une réplique de Bélial à l'aspect fantomatique apparut attendant que celle-ci enregistre sa voix.
Bélial : Pour Dolldemort la sale créature que je déteste mais qui se bat le mieux après moi et Saké. Dolldemort je m'absente du champ de bataille tu as le commandement des opérations.
La vision argenté de Bélial prit le large et une autre apparut.
Bélial : Pour Kami-chan ma détestable filleul, Kami-chan promet moi de ne jamais devenir professeur de défense contre les forces du bien.
Elle envoya deux ou trois autres message en vitesse et put enfin songer à secourir Saké.
Bélial : accio râteau !
Le râteau de Bélial qui était sûrement le plus beau de tous fila dans sa direction et elle l'enfourcha en vol.
Bélial : Locate Saké Rotter !
Ensuite elle n'eut qu'à suivre la sphère du locate pour retrouver la trace de son ami. Ceci la conduisit à la fenêtre d'un couloir qui semble t'il avait volé en éclat. Une armure renversé et quelques taches de sang semblaient indiquer qu'un rapide combat y avait eu lieu mais il n'y avait aucun cadavre. Après qu'elle eut quitté son râteau et enjambé la fenêtre elle s'arrêta voyant la sphère locate s'arrêter devant une porte derrière laquelle aucun bruit ne filtrait.
Bélial : Talkus Saké.
Elle entendit derrière la porte, le bruit de la baguette de Saké qui sonna mais elle ne répondit pas.
Bélial : C'est un piège, se dit-elle. Un piège grossier dans lequel je ne tomberais pas.
Mais sa raison s'ébranla quand elle pensa à Saké peut être torturé ou assassiné derrière cette porte en ce moment même. Elle chercha un sort lui permettant de voir ce qu'il se passait derrière la porte ou une quelconque tentative de déjouer ce piège mais toujours dans son esprit, l'image d'un Saké torturé l'empêchait de penser calmement. Puis elle réfléchit à ce que Saké ferait à sa place. Elle le vit bien exploser la porte et désarmer tout ce qui bougea à l'intérieur.
Bélial : Très bien... la délicatesse et la mesquinerie m'ont amené loin dans ma vie mais quand il s'agit de sauver quelqu'un... autant il y aller avec classe. clean !
Le sort clean la nettoya de haut en bas, effaçant les traces de sang et de boue. Elle remit son chapeau bien en place et ajusta son maquillage.
Bélial : Show time...
La porte s'ouvrit. Calmement Bélial entra.
Dans la pièce circulaire, six détraké d'élite formait un cercle. En son centre le fourbe Louisus Malofoy. Dans un coin Saké Rotter blessé, à demi-inconscient et ligoté. Elle rejoint Louisus au centre.
Bélial : Louisus ! dit-elle d'un ton chaleureux. Quel plaisir de vous revoir après tout ce temps.
Louisus : Bélial ma chère amie ! Le plaisir est partagé croyez le bien. C'est vrai que cela fait longtemps que nous ne nous sommes vu. Mais bon que voulez-vous, des accords avec le ministère, une invasion, des meurtres et un piège mesquin tss... ça vous occupe un homme.^^
Bélial : Si vous saviez comme je comprend. Depuis hier je passe mon temps à essayer de sauver les vies de ces insectes que sont mes élèves. C'est une véritable corvée !
Louisus : Comme je vous comprend Bélial. v_v Moi j'ai des fous sur les bras et des détrakés. J'avoue que parfois j'ai du mal à faire la différence entre mon armée et mes patients !
Bélial : Oui bien sur. Mais rassurez-vous mon cher ami, mon armé à moi vous débarrasse de vos tueurs sanguinaires. Ils tombent comme des mouches. Vous aurez bientôt beaucoup de travail en moins ! ^^
Louisus : Ah hélas, je ne crois pas. Voyez-vous quand je me serais emparé de Boudebar je compte bien en faire quelque chose. Quoi exactement je ne sais pas encore, les idées ne manquent pas. Mais avant cela je désosserai cette école pour en trouver les moindres secret qui pourront me rendre plus puissant.
Bélial : Oh oh comme vous y aller mon cher. Croyez-moi les secrets de cette école apportent plus de soucis qu'autre chose. Saké et moi en avons fait l'expérience.
Louisus : Oui je sais bien à quel point les incidents se sont répété ces dernières années. Oh je ne dis pas que vous avez manqué de vigilance, où que vos élèves ne sont qu'une plaie pour le monde de la sorcellerie... non non je ne m'abaisserai pas à vous dire cela.
Bélial : Allons donc Louisus... mes élèves une plaie ? La futur crème de la sorcellerie alcoolisé vous dérange ?
Louisus : Hi hi ! Ne faite pas semblant de ne pas savoir Bélial vous me connaissez depuis de nombreuses années et ce mieux que quiconque. Je hais la sorcellerie alcoolisé. ^^ Cette insulte au grand art de la sorcellerie classique. Cette forme batarde créé par quatres fous.
Bélial : Et c'est pourquoi vous faites en sorte d'enfermer en toute impunité certain des plus puissante mage alcoolisé, dans votre établissement. Et ce en toute légalité et c'est tout à votre honneur, c'est tellement fourbe. ^^ Nous pouvons nous parler franchement Louisus, vous voulez écraser la sorcellerie alcoolisé pour que le monde de la magie soit plus... propre ? C'est comme ça que vous disiez à l'époque il me semble.
Louisus : Oh oui... cette belle époque. L'époque où si jeune vous étiez déjà générale en chef des Détrakés de l'hôpital pikatrique de Cognac sur Saké. La meilleur détraké de tout les temps, la plus dangereuse, la plus fourbe, la plus imprévisible... Bélial Lindanagall. D'ailleurs j'ai toujours apprécié que vous gardiez sur votre visage une partie du maquillage de mes clowns tueurs.
Bélial : Oh vous avez remarqué la ressemblance ? Vous êtes fort, personne n'a jamais semblé remarquer la ressemble entre mon maquillage et celui des détrakés.
Louisus : C'est parce que je ne le connais que trop bien. Si seulement vous étiez resté avec moi...
Bélial : Que non... j'appréciai vos méthodes Louisus et quand vous avez rejoins la confrérie des sorciers maléfiques je n'ai pas agis ne m'imaginant pas que Dolldemort ferait autant de dégât. Mais le jour où je découvris votre aversion pour la sorcellerie alcoolisé... je me souviens vous avoir suivi lors d'un de vos voyage en Angleterre... (Louisus acquiesça car il avait comprit ou elle voulait en venir) ce voyage en Angleterre ou vous aviez eu une longue conversation avec un certain... comment s'appelait-il déjà ?
Louisus prit un air grave...

Louisus : Tom Jedusor...
Bélial : Oh non à l'époque il se faisait déjà appeler Voldemort.
Louisus : Lord Voldemort s'il vous plaît.
Bélial : Lord ou monstre, appelez le comme vous voulez... Vous lui aviez dit vouloir éradiquer dans un futur proche la sorcellerie alcoolisé pour finalement vous emparer du ministère de la magie classique française. Afin que les mangemorts, quel nom ridicule d'ailleurs, puissent s'introduire plus aisément dans notre pays.
Louisus : Merci pour ce petit rappel ma chère. Je connais la suite. Pour mettre à mal mes plans et faire fermer mon établissement vous avez déclenché la célèbre émeute dans l'hôpital.
Cette fois c'est Bélial qui prit un air grave.
Louisus : Hélas les choses ne sont pas passé comme prévu. Certains de mes patients étaient plus fou que vous ne l'imaginiez et les choses ont dégénéré. J'ai donné l'ordre à mes détrakés de ne plus écouter vos consignes et de tuer dans l'oeuf cette révolte. Cette nuit là, beaucoup de sang a coulé par votre faute. Oh je n'essai pas de vous culpabiliser Bélial croyez le bien ! C'est inutile puisque je sais à quel point ce massacre vous a affecté.
A l'évocation de ce souvenir Bélial ne souriait plus. Les formules de politesses était désormais terminé.
Bélial : Je vais vous tuer Louisus. Je vous le dis calmement certes mais je vais le faire. Je dois le faire. Je dois le faire pour moi, pour mes élèves, pour la sorcellerie alcoolisé et pour Saké.
Louisus : Que non. Moi aussi je dois vous tuer. Je dois vous tuer car vous êtes la directrice de Boudebar et qu'en vous tuant l'école me reconnaîtra comme son maître, c'est le même système pour les baguettes magiques mais je ne vous apprend rien.
Bélial : Mais moi ça très longtemps que je désire vous tuer.
Louisus : Ce ne m'étonne guère.
Bélial : Je sais. Et j'ai très exactement 486 façon de le faire, là tout de suite.
"Avada Kedavra"
Une puissante lumière verte frappa Bélial de coté. L'avada kedavra, le puissant sort mortel et imparable créé par Voldemort foudroya Bélial. Sa vie s'échappa, elle s'écroula, vaincu et morte.
Louisus changea tout à coup de forme, le polynectar s'estompa laissant place à un simple détraké. Le détraké qui venait de foudroyer Bélial dans le dos changea aussi de forme révélant lé véritable Louisus Malofoy.
Louisus : 487 pour ma part...

Oh le salaud, je vais le... AAAAaaarrgh !

ah ah mais pas de réaction sur l'affiliation entre Louisus et Voldemort ?
j'avais toujours mis un point d'honneur à séparer autant que possible les deux univers mais il me fallait une vrai motivation pour Louisus.

Si si, mais la mort de la directrice passe avant tout ^^

Et bah alors ? On veut la suite XD !!!

Voila enfin le nouveau chapitre, écrit par Cécile et légèrement revu et corrigé par votre serviteur. Enjoy !

Chapitre.
Louisus le directeur ?


Louisus : 487 pour ma part...
Le directeur de l’hôpital Pikatrique sortit de la salle, un large sourire aux lèvres, et ordonna aux Détrakés restant en désignant Saké Rotter :
« Amusez vous bien avec celui là, mais ne le tuez pas, je risque d’en avoir encore besoin… »
Saké avait regardé toute la scène sans rien dire, les coups qu’on lui avait portés l’avaient été avec rage, et il souffrait. Et là, il souffrait encore plus, mais pas physiquement. Il n’avait pas eut le temps de répondre à la demande de Bélial. Il se sentait seul et vulnérable, face aux ténèbres glacées de sa propre conscience. Il savait bien qu'il ne pouvait rien changer à ce qu'il venait de se passer. Pas de retour en arrière possible pour cette scène affreuse et toute sa vie il vivrait avec le remords de ne pas avoir pu répondre à la demande de Bélial. Saké trembla. La terreur et les larmes remontèrent d'un seul coup dans sa gorge. Mais il secoua la tête, ravala son chagrin. Il était enfermé dans ce cauchemar, où qu'il aille, quoi qu'il fasse il ne pourrait ramener Bélial à la vie. Mais en tant qu'homme il se devait de faire quelque chose.
Détraké 66 : Regarde, on dirait qu’il se réveil !
Détraké 121 : Super, on va pouvoir le torturer encore un peu !
Détraké 38 : Mais faudrait pas trop forcer, il doit rester en vie…
De longs rires retentirent dans la salle, tendit que la colère de Saké grandissait de plus en plus. Elle atteint son paroxysme quand l’un des Détrakés donna un coup de pieds dans le corps de la directrice.
Détraké 62 : Au moins, on aura plus celle là sur le dos !
Saké laissa sa colère se déchaîner, et brisa les liens qui le retenaient. Les six Détrakés présents n’eurent pas le temps de répliquer. Saké tendis les bras et cogna violement ces deux poings fermé l'un contre l'autre. Une explosion suivit d’une onde de choc et de chaleur insupportable projeta les détrakés contre les murs dans lesquels ils s'enfoncèrent carbonisés.
Saké : Fire choc bomber...
A l'exterieur Louisus était ravit de la tournure qu’avait prit les événements. Avec la mort de Bélial Lindanagall, il devenait enfin le légitime propriétaire de Boudebar. Pourtant, quelque chose n’allait pas.
« Il y a quelque chose de pourri à Boudebar… Je devrais ressentir quelque chose, je ne sais pas quoi exactement, mais quelque chose qui prouverait que j’ai enfin le contrôle total. Je ne m’attends pas à un ‘level up’ au dessus de ma tête mais quand même… » Hum...
Louisus allait s'engager sur le pont suspendu vieillit par le temps et pour tester les pouvoirs de directeur fraîchement acquis il s'adressa à la passerelle.
Louisus : Répare-toi !
Mais rien ne se passa alors il traversa quand même le pont suspendu peu sure, suivit par quelques uns de ses Détrakés d’élite. Il avait entendu une explosion au loin, mais s’en fichait éperdument. Si Saké mourrait à son tour, ça ne lui faisait ni chaud ni froid. Au pire, il râlerait sur les responsables et laisserait le cadavre à la vue de tous, preuve de ce qui pourrait arriver si l’on s’interposait contre lui et son armée. Cette idée lui plaisait beaucoup, mais il était toujours en train de penser à ce pouvoir qu’il espérait tant de cette énorme bâtisse qu’était Boudebar.
« Si ça se trouve, Bélial aurait légué ses droits sur Boudebar à quelqu’un d’autre… Mais alors qui ? Qui parmi ses congénères serait apte à les récupérer ? Je n’ai pas vraiment d’idées là-dessus, mais qu’importe… Il me suffit juste de tuer tous ceux qui ont côtoyés de près ou de loin la directrice et le tour sera joué ! »
L’adrénaline semblait avoir remplacé le sang qui coulait dans les veines de Louisus. La victoire était de plus en plus proche, et même si ces troupes avaient connues de lourdes pertes, il n’avait pas abattus toutes ces cartes.

Le visage de Saké était devenu tout pâle lorsqu’il posa ses yeux sur le corps sans vie de Bélial, et son cœur s’était arrêter de battre. Il ravala sa tristesse et sa haine, se pencha doucement sur celle qui fut autrefois sa confidente, son amie, sa camarade. D’une de ses poches, il sortit ce qui semblait être une opale et la posa sur le corps de la directrice. Elle s’illumina et entoura le corps de cette dernière, se transformant en cercueil. Et maintenant, le pire était encore à venir : il fallait qu’il annonce la nouvelle à son fils et ses amis qui recherchaient les reliques de la vie, et il ne savait absolument pas comment ils réagiraient. Il lança le sort talkus et annonça d’une voix terne :
« Bélial est morte. Revenez immédiatement. »
Sans attendre de réponse, il coupa court à la communication. Il sortit de la salle, fou de rage, et se lança à la poursuite de Louisus.
Dehors, la pluie tombait sur l’école qui avait sombré dans le chaos.

Bon sang, je m'extase devant alors que j'en ai écrit une partie XD

lol tu as tout écrit j'ai juste changé deux ou trois phrase. Et puis n'oubli pas que sano rotter c'est à toi qu'on le doit.

^^; euh, ah bon ?
J'm'en rappelais pas que j'étais à l'origine de Sano Rotter. J'me souviens surtout que c'était une grosse déconnade, et puis un texte que j'ai jamais finis XD !!!
Aaaaah, je veux des infos croustillante sur la suite... ^^

Chapitre
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Quand Saké ouvrit à son tour la petite porte menant au pont il vit Louisus à l'autre bout. Celui-ci pour se protéger de la pluie avait remonté sa capuche sur ses cheveux et se tenait trois quart face à Saké. Du doigt il lui montra la porte non loin de lui qui menait à un escalier en colimaçon descendant. Son bras se baissa et doucement un sourire extrêmement malsain se dessina sur ses lèvres. Sous les trombes d'eau il disparut dans la pénombre de sa porte de sortie.
Saké : LOUISUS !!!
Criait un Saké enragé qui lui emboîtait le pas en courant.
Tout à coup l'image se brouilla. Les gouttes de la pluie torrentielle se mirent à luire d'une lueur dorée qui illuminait toute la scène jusqu'a éblouir tout les yeux qui auraient pu s'y trouver.
Puis plus rien la lumière aveuglante avait disparu faisant place à cette pièce circulaire dans laquelle s'était déroulé un drame. Le cercueil ovale de Bélial ne luisait plus. Plus personne ne devait savoir ce qui s'était réellement passé.
Gwenolafée : Je ne sais pas exactement ce qu'il s'est passé mais je me doute que cela doit être horrible jeune Rotter. Je suis désolé.
Sous le choc Sano avait du s'adosser au mur pour ne pas tomber. Mais maintenant qu'il savait il devait agir vite. Il devait sauver Crayonne.
Sano : Crayonne aussi a vu ceci ? demanda t'il à Gwenolafée sans la regarder.
Gwenolafée : Je ne sais pas c'est possible. Je suis arrivé quand elle s'éloignait du "cercueil de Bélial". Elle pleurait et semblait folle de rage. Je n'ai pas pu l'empêcher d'emprunter ce pont peu sur et puis vous êtes arrivé.
Sano : C'est un piège.
Gwenolafée : Pardon ?
Sano : Louisus doit tuer tout les proches de Bélial pour mettre ses plans à exécution. Je rejoins mon père et Crayonne quant à vous retournez dans la plaine pour prevenir les personnes proches de Bélial. Qu'ils fassent très attention à eux.

C'est un piège et Saké et Crayonne se jetent dedans... Et qui c'est qui va devoir se farcir tout le boulot derrière pour les sauver ?
En tout cas, ça prend aux tripes, y'a pas à dire !